François LEROUX
Je suis diplômé d'une Grande École d'Ingénieurs et j'ai complété ma formation par des études en sciences économiques et en marketing industriel.Homme de terrain, je suis intervenu en France et à l'étranger dans de très nombreuses entreprises, souvent en difficulté, qui appartenaient à différents secteurs d'activité.
J'effectuais des missions, soit de Conseil auprès de Directions générales, soit de Directeur général en titre. J'ai ainsi été confronté à une grande diversité de situations, tant techniques qu'humaines.
Ces missions, consacrées le plus souvent au développement ou à l'amélioration des performances d'entreprises industrielles ou commerciales, parfois d'administrations, m'ont permis de développer une grande capacité d'écoute, d'analyse et d'évaluation des forces, mais surtout des faiblesses des organisations. J'ai alors pu définir des ensembles de mesures pour les rendre plus compétitives, voire les redresser.
En 2006, fort de ces expériences et meurtri de constater le manque de courage, d'imagination et de lucidité des politiques menées par nos gouvernants successifs depuis 30 ans, et de la vacuité des programmes proposés par les candidats à la présidentielle de 2007, j'ai écrit un premier essai, d'abord publié sur un blog en février 2007, puis aux éditions Thélès en fin d'année :
COMMENT FAIRE FACE À LA MONDIALISATION
Pour une France plus équitable et solidaire
Pour le lire
En 2009, j'ai publié chez ILV Édition un deuxième essai :QUELQUES IDÉES POUR ADAPTER NOS INSTITUTIONS AU MONDE ACTUEL ET RELANCER NOTRE ÉCONOMIE
Pour le lire
Mes préconisations ont été jugées trop radicales pour même être étudiées... et c'est toujours la méthode Coué et l'esquive qui prévalent chez nos gouvernants, de droite comme de gauche.Pourtant, nombreux sont maintenant les Français qui ont compris que le temps de profondes réformes était venu, qu'elles étaient incontournables et que, plus elles seront retardées, plus elles seront douloureuses et coûteuses.
Notre pays, et par effet domino l'Euro et l'Europe, étant dans une situation extrêmement préoccupante, j'ai décidé de faire une troisième tentative avec l'essai publié par les Éditions du Net :
57 vs 44 %
Refonder ? Oui, mais... Quoi, Pourquoi, Comment ?
Commander 57 vs 44 %
Et j’ai créé ce site en complément, en espérant qu'ils contribueront à faire sortir nos responsables de leur léthargie et à ce qu'ils
entreprennent - enfin et intelligemment - les indispensables réformes de fond qu’attend le Pays.Puis, fin novembre 2016, j'ai publié aux Éditions du Net un quatrième essai, qui est un concentré des précédents, plus dense mais plus rapide à lire :
REFONDATIONS
Idées novatrices pour des réformes apaisées
Commander Refondations
Enfin, en octobre 2019, j'ai publié aux Éditions du Net un cinquième essai, sur cette désespérante Europe :
VITALE EUROPE
Commander VITALE EUROPE
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14-18 : Vie et mort d'un Officier du front
Les écrits de cet Officier de la Grande Guerre, tout à la fois fils, mari et père de deux très jeunes filles, constituent le cœur de ce livre-témoignage… et hommage.Il côtoya la mort pendant trois longues années dans les tranchées des avant-postes et finit par être frappé par elle le 30 août 1918 au cours d’une reconnaissance. Il se retrouva seul face à une patrouille allemande commandée par un jeune sous-lieutenant qui fut très marqué par leur corps-à-corps :
Il était horrible d’être face à face, se regardant droit dans les yeux et de se dire : je dois le tuer sinon il me tuera. Je ne l’oublierai jamais !
Particularité de cette mortelle rencontre : le fils de l’officier allemand entra en contact en 2007 avec les descendants de sa victime afin de leur restituer des objets personnels conservés par son père et leur donner le compte rendu de l’embuscade publié en octobre 1918 par le journal de l’armée allemande impliquée !
Cette initiative, totalement improbable, déclencha chez moi, petit-fils de l’officier français… et futur grand-père d’enfants franco-allemands, le désir de m’intéresser à la guerre de mon aïeul dont je ne savais pratiquement rien.
J'ai alors entrepris des recherches, sur Internet, dans les archives de l’armée et dans celles de ma grand-mère qui contiennent cinq cents lettres de son mari ainsi que les témoignages et les documents résultant des nombreuses démarches qu’elle entreprit dès sa disparition : il avait été emporté par l’ennemi, blessé, mais vivant… ou mort ?
J'en livre une synthèse, enrichie par quelques extraits de
Lettres de guerre, livre paru fin 1917 dont mon grand-père recommanda la lecture à sa femme, et par des informations sur l’officier allemand et sa famille.
Ce livre a été écrit avec la collaboration du fils, rencontré en 2008, puis de la petite-fille de l'officier allemand qui fit les deux Guerres Mondiales.
La petite-fille, Sonia Richter, a publié le livre-miroir allemand :
JENSEITS DER GRÄBEN(Au-delà de la tranchée).
Commander 14-18 : Vie et mort d'un Officier du front
Ce livre est complété, notamment avec les plus de cinq cents lettres écrites du front par mon grand-père et celles d'un autre officier,
tué au front en 1916, dans le site :
Témoignages 14-18
ANDRÉ VACQUIER
L'Ennemi retrouvé
André Vacquier, Capitaine d'infanterie pendant la Grande Guerre, fut victime d'une embuscade sur le front des Vosges le 30 août 1918.D'abord porté disparu, il fallut attendre six mois pour apprendre sa mort et un an de plus pour retrouver sa tombe.
Histoire tristement banale, me direz-vous.
Non, pas vraiment, car elle connut en 2007 un rebondissement parfaitement improbable, au moment précis où un événement familial, qui était son exact contraire, se préparait !
C'est donc cette histoire peu ordinaire qui concerne mon grand-père et sa descendance franco-allemande que je raconte dans ce petit livre.
Commander André Vacquier
HISTOIRE D'UNE FAMILLE
1450-2015
Cette famille, française et périgourdine, descend d’un gentilhomme écossais qui combattait dans les armées anglaises à la fin de la guerre
de Cent Ans. Fait prisonnier à la bataille de Formigny (15 avril 1450), puis libéré, il fit venir son épouse irlandaise. Ils quittèrent la
Normandie et s’installèrent en 1454 à Sarlat, au cœur du Périgord. Mon grand-père maternel, André Vacquier, appartenait à la dix-huitième génération de cette lignée.
Cette histoire familiale, écrite avec l’aide d’une biographie, de livres et d’un carnet de souvenirs, de lettres, de témoignages, de documents historiques, est intéressante à plus d’un titre, car elle permet, notamment, de mieux connaître des vies peu ou pas traitées par nos livres d’histoire. C’est ainsi que nous suivons un prêtre insermenté, aujourd’hui béatifié, aux prises avec les révolutions françaises de 1789 à 1848 ; puis un noble de dix-sept ans qui émigra dix ans pour combattre avec les unités royalistes contre les armées révolutionnaires ; enfin, un Consul de France au Canada confronté à la prohibition aux États-Unis.
Je relate ensuite le destin de mon grand-père, mobilisé en 1914 et porté disparu le 30 août 1918 ; puis les combats et la vie de sa veuve, ma grand-mère, et de leurs deux filles.
À la guerre suivante, j'aborde l’accueil par mes parents de plusieurs dizaines de réfugiés fuyant l’occupation allemande, jusqu’à l’accident de ma mère qui provoqua sa mort après une semaine de coma, drame qui fut relaté dans des écrits poignants. Ensuite, je parle de mon enfance et de ma jeunesse avec mon frère aîné pendant et après la dernière Guerre passées à la campagne, en Périgord.
Devenu adulte, j'évoque mes rencontres, notamment celle avec le Docteur Albert Schweitzer en septembre 1963 à Lambaréné, et je présente ma propre famille, avec une descendance franco-allemande… au moment où une surprenante lettre venue d’outre-Rhin rouvrait le dossier de la mort de mon grand-père.
Mes recherches me permirent de retrouver le rapport de l’armée française, le compte rendu d’un sous-officier qui l’accompagnait et celui de l’armée allemande, rédigé à des fins de propagande. Ces documents sont intégralement reproduits dans la dernière partie de l’ouvrage.
Ce livre, qui se lit comme un roman, n’en est pas un dans la mesure où tous les personnages et tous les faits sont authentiques et reposent, pour les plus anciens, sur des écrits de l’époque.
Il met en lumière des vies bien réelles dans des circonstances particulières qui leur donnent sens et intérêt pour ceux qui s’intéressent à l’histoire de notre pays. Le prêtre insermenté fit l’objet de plusieurs biographies, les Souvenirs du jeune noble émigré furent publiés en 1909 ; quant à ma mère, elle fut l’héroïne d’un roman,
Sa Sérénité, paru en 1947.
Commander Histoire d'une famille
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BILLET D'HUMEUR
Ayant beaucoup voyagé dans le monde, notamment à l’époque où le Général de Gaulle était au pouvoir, j’ai été très marqué par l’estime que les étrangers portaient à la France et au rôle très particulier qu’ils lui attribuaient.Pour des raisons personnelles, je suis très sensible au déclassement.
Mai 2015 à Amsterdam : le terminal bancaire d’un restaurant ne fonctionnant pas, je paie en euros et dis
c’est bien d’avoir la même monnaie.
Le serveur conteste en évoquant l’Espagne, la Grèce...
Si j’avais été Allemand, il n’aurait certainement pas eu une réaction négative.
Ça m'a fait très mal ! Comme me fait très mal le refus d'accueillir des réfugiés la France !